Une petite montée de chaleur, balancé.
j'ai pu voir dans ses yeux aux abysses infinies, s'envoler un faucon au regard averti, surplombant des sommets que l'on ne gravit a pied.
Ses odeurs délicieuses, fermantant passiement qui certainement odieuses font de moi un brigant; un de ces mauvais hommes aus idées malicieuses, s'enivrant sans se sentir en tort, comme sous les effluves d'un alcool trop fort. La moiteur de sa peau et ses coulées de sueurs irritant mes nasaux accélérant mon coeur me semblent parvenir de planete sauvages dont les senteurs si fortes on su, traverser sans escorte, les espaces et les ages.
Et c'est sans doute à quattre patte gravissant ces collines sacrées, qui sentent bon l'orange et la félicité, l'acide et le sucré; que j'initie mes sens à la perversité.
Je rampe et m'élance muni de déraison, guidé par mes pulsions et mes basses passions. J'empoigne de tout mon corp cette océan de chair pour presser le nectar de ses juteuses de courbures.
Puis quand me viendra la fatigue, les montées de flanerie, allongé contreune joue, je me satisferait, de vilaine imagerie , de gravure d'épinale où la pudeur s'enfuit.
C'est agréable de pouvoir partager.Ce n'est sans doute pas terrible mais c'est déja beaucoup mieux lorsque c'est partager. Hum hum...